Selon plusieurs sources, Reporters Sans Frontières a fait appel à plusieurs « hackers » (hacktivistes) pour éprouver la sécurité de se nouvelle plateforme Web.
Le rapprochement entre certaines ONG et le monde de l’Underground est, depuis longtemps, un fait avéré. Mais cela semble se généraliser. De sources confidentielles, les ONG « vertes » utilisent les services de pirates informatiques depuis longtemps.
L’on est alors en droit de se poser deux questions fondamentales :
1. les pirates sont-ils utilisés uniquement pour mener des actions défensives ?
2. les ONG ont-elles mesuré les risques de pénétration par des organismes terroristes ou criminels dans la nébuleuse du piratage informatique ?
Quoiqu’il en soit, lorsqu’un chien a, un jour, goûté au sang …
A.F.L.