Les brèves du jour

Vie privée: Google rappelé à l’ordre

Lire : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/10/15/97002-20121015FILWWW00560-vie-privee-google-rappele-a-l-ordre.php

Les autorités européennes chargées de la protection des données personnelles ont demandé à Google de modifier sa nouvelle politique en matière de vie privée, estimant qu’elle soulève un certain nombre d’interrogations au regard du droit.

Alerte au « typosquatting » : Alerte Typosquatting .crns.fr

Télécharger:  https://aresu.dsi.cnrs.fr/IMG/pdf/alerte-11-10-2012.pdf

Le « typosquatting » (anglicisme) est une forme de « cybersquatting » (ou  « cybersquattage » ) se fondant principalement sur les fautes de frappe et  d’orthographe commises par l’internaute au moment de saisir une adresse web  dans un navigateur.

Concrètement, il s’agit pour le «  typosquatteur » d’acheter certains noms de  domaine dont la graphie ou la phonétique est proche de celle d’un site très  fréquenté ou d’une marque connue, afin que l’utilisateur faisant une faute  d’orthographe ou une faute de frappe involontaire soit dirigé vers le site détenu par le pirate.

Interview de M. Patrick PAILLOUX directeur général de l’ANSSI

Lire : http://www.solutions-logiciels.com/actualites.php?titre=Interview-de-Patrick-Pailloux-Directeur-general-de-lANSSI-Agence-Nationale-de-Securite-des-Systemes-d-Information&actu=12236 -Information

A l’occasion des dernières  Assises de la Sécurité à MONACO, Patrick PAILLOUX  a commenté pour « Solutions-Logiciels » les 40 règles minima de sécurité de l’information qu’il propose aux entreprises. Selon lui, si ces dernières  ne sont pas adoptées, des sanctions pourraient  frapper les dirigeants,. Entre autres, les « smartphones » ou « tablettes » ne devraient en aucun cas être connectés sans contrôle au SI de l’entreprise.

Alain JUILLET, ancien dirigeant à la  Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) s’est exprimé dimanche 14 octobre 2012 à Toulon sur l’intelligence économique

Lire : http://www.varmatin.com/toulon/lintelligence-economique-en-debat-a-toulon.1004053.html

« S’il existe des lois pour les secrets militaires, paradoxalement, rien ne protège les entreprises. C’est un problème énorme, car la France se fait piller« , a-il-déclaré notamment.

Paris concentrerait 20% de l’espionnage économique selon la DCRI.

Lire : http://www.abcpresse.com/fr/actualites/fiche.php?id=167

Les pouvoirs publics entendent renforcer la vigilance des entreprises parisiennes trop bavardes.

La démarche qui mobilise la préfecture de région et le Conseil régional d’Ile-de-France au sein d’une stratégie intelligence économique 2012-2015 consistera notamment à insister sur la protection des entreprises recevant des aides publiques. Les pouvoirs publics solliciteront les experts comptables, DRH, juristes pour accompagner ce processus.

En 2011, la Direction centrale du renseignement intérieur a enregistré 5 000 ingérences économiques indélicates en Ile-de-France.

Affaire d’espionnage HUAWEI : Plus de pays occidentaux sur le qui-vive.

Lire : http://fr.ntdtv.com/ntdtv_fra/actualite/2012-10-11/474568446805.html

D’ après Chen POKONG, observateur politique pour New Tang Dynasty Télévision (NTDTV) :

« C’est un refus des activités d’espionnage du PCC et de ses activités d’espionnage économique et militaire dans le monde. Cela touche la sécurité nationale des États-Unis et la sécurité du monde libre. C’est une partie de la philosophie du PCC d’appliquer la dictature à l’intérieur de ses frontières et de promouvoir des idées autoritaires à l’extérieur. Le monde libre devient vigilant, mais c’est déjà un peu tard. »

Selon des médias britanniques, alors que le Parlement américain a identifié les menaces posées par HUAWEI et ZTE à la sécurité nationale, plus de 50 entrepreneurs chinois, qui ont construit leur fortune dans l’immobilier et l’industrie minière, ont cherché des opportunités d’investissement aux États-Unis qui les ont bien accueillis. Cette tendance s’est installée en dehors de l’attention des médias internationaux.

 « Si les entreprises chinoises viennent investir dans des projets qui ne sont pas liés à l’armée, à la sécurité ou aux secrets d’état, elles seront toujours les bienvenues aux États-Unis. Si elles sont impliquées dans des projets liés à la sécurité nationale, comme la sécurité de réseau, la sécurité d’équipement technologique, je pense que les États-Unis devront être vigilants. »

Avant 2009, selon des statistiques, les investissements directs chinois aux États-Unis concernaient une trentaine de projets et ne dépassaient pas les 500 millions de dollars. Selon les analystes, même si les États-Unis accueillent les investissements étrangers pour équilibrer son ralentissement économique, ils n’ignorent pas les menaces envers la sécurité nationale.

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